• En cette nuit d’effrayants et de gnomes

    De feuilles qui s’évanouissent et de crones qui grincent des dents

    Des légendes racontées d’une oreille à l’autre

    Des chats hurlants qui sourient et ricanent

    Au-dessus de la colline et au-delà de l’arbre

    Une maison hantée qu’on dit qu’il y a

    Avec du froid et de la brume pour percer votre âme

    Et des vents chuchotants pour vous garder au froid

    Tassez l’exemple des chuchotements tout droit arrivés de l’enfer

    Pour vous protéger des sorts de sorcière

    Pour à travers cette nuit de jeu diabolique

    Tous ceux qui fouleront la rue la journée

     

    Denise M. Cocchiaro’

     

     

    Frissons d'Halloween


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  •  

    La nature a le cœur en fête

    Les arbres sont habillés

    Des pieds à la tête

    Leurs feuilles se sont colorées en or

    Les parterres sont recouverts

    D'un tapis orange, aux tons dorés

    L'automne est l'élue des saisons

    Le soleil y dépose ses rayons

    En guise de participation

    Alors, tout scintille,

    S'illumine

    La nature a bonne mine

    Retrouve le sourire

    Ne fait pas grise mine

    Elle lui rend hommage

    Avec passion et dévotion

    Lui souhaite la bienvenue

    Lui montre son amour

    Et l'automne est ému et ravi

    D'être si bien accueilli

    D'être sur le devant de la scène

    Et il y laissera bientôt sa place

    Dans son merveilleux palace

    Au roi de l'hiver

    Qui est froid et fier

    Mais qui saura nous réchauffer

    De son beau manteau blanc

     

      

    Mes mots se balancent (extrait)’

     

     


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  • Tristesse intérieure

    Folie qui grandit

    Quand ma voix dessine

    Le futur du monde,

    L’horizon s’obscurcit.

    Avoir des pensées noires.

    Et pourtant,

    Vouloir briller comme un soleil

    Sans être jaloux des étoiles

    Qui éclairent les heures sombres.

     

     

                              ‘Stéphen Moysan’

     

     

    Les cris de la mélancolie

     

     

    'L’âme du violon, c’est le Cœur’

     

    Entre son corps fait de bois et sa voix surgie de la vibration des cordes animales,

      Le violon possède une âme humaine.

    Son langage s’articule du souffle le plus léger à la plainte,

    Au déchirement le plus langoureux,

    C’est un langage symbolique qu’on ne peut déchiffrer qu’instinctivement.

    La capacité de langage du violon est comme la capacité

    Du cœur à absorber et à donner sans condition.

     

     


  • L'âme est une fleur délicate exposée au vent de la destinée.

    Les brises du matin la secouent et les gouttes de rosée lui ploient le cou.

    Comme la fleur prend de la terre son parfum et sa vie,

    L'âme tire de la matière et de ses torts une force et une sagesse.

     

    Khalil Gibran’

     


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